enfile-tryon
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Charles Ingalls’ fuckers
The Real Nelly Olson... le nom sonne comme une connerie de fin d’soirée pathétique et 100% vin rouge.
Par contre, le jus qui suinte des enceintes, ça te fait pas du caca d’oreille, crois-moi !
Pour amateurs de rock qui tâche, graissé à l’huille de Lemmy, velu de l’orteil, agressif comme il faut, avec un bon chant féminin bien hargneux.
Une production aux oignons frits, un mixage au poil de pubis... une bonne , énorme claque qui montre quelques affinités punk (le final de "Lobotomization" en est une preuve, une tuerie).
5 boulettes sur CD qui font office de Ep là où certains auraient tapé dans le mini-Lp.
L’une des meilleurs découvertes dans mon mange-plastique.
En plus ils sont faciles à trouver dans le coin.
www. c h p u n k . o r g - diarrhée verbale et bouillie musicale depuis 1987...
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merde je l'aimais bien charles ingall's